Notre action en faveur du bien commun est axée sur l’identité coopérative. Nos valeurs et nos principes ne constituent pas une fin en soi, mais des moyens qui donnent à des millions de personnes la possibilité de prendre leur vie en main. Ils constituent un socle robuste qui différencie les coopératives des autres types d’entreprises. Comment notre modèle d’affaires peut-il continuer à être pertinent pour relever les défis mondiaux d’aujourd’hui ?
Sessions du Congrès mondial des cooperatives
Séance plénière 1 : Examiner notre identité coopérative
Notre action en faveur du bien commun est axée sur l’identité coopérative. Nos valeurs et nos principes ne constituent pas une fin en soi, mais des moyens qui donnent à des millions de personnes la possibilité de prendre leur vie en main. Ils constituent un socle robuste qui différencie les coopératives des autres types d’entreprises. Comment notre modèle d’affaires peut-il continuer à être pertinent pour relever les défis mondiaux d’aujourd’hui ?
SESSION PARALLÈLE 1.1 : AVEC UNE MARQUE COOPÉRATIVE SOLIDE
Il a été démontré que les entreprises développent leurs activités en valorisant leur image de marque. Dans les coopératives, à travers la marque COOP et le nom de domaine Dotcoop, la marque est également la manifestation de l’identité coopérative, de ses valeurs et de ses principes, contribuant à la fidélisation des membres et à l’augmentation du nombre d’adhérents. L’image de marque coopérative peut mettre en valeur l’identité coopérative et ses composantes qui touchent le plus le public, telles que l’engagement envers les membres et la communauté. Quelle est la meilleure façon de gérer l’image de marque coopérative ? Quels sont les exemples à suivre ? Comment pouvons-nous en mesurer l’impact ?
SESSION PARALLÈLE 1.2 : AVEC UNE GOUVERNANCE INCLUSIVE
La participation et l’inclusion de la diversité culturelle, de genre et d’âge sont essentielles pour une gouvernance coopérative avisée et sont des caractéristiques au cœur de notre identité coopérative. Pour les garder en vie, nous devons sans cesse nous interroger : sommes-nous suffisamment inclusifs ? Comment pouvons-nous rendre l’identité coopérative attractive pour tout le monde ? Comment pouvons-nous mettre en place des pratiques inclusives en matière de gouvernance et ne laisser personne à l’écart ?
SESSION PARALLÈLE 1.3 : AVEC UN ACCÈS À L’ÉDUCATION
Le cinquième principe coopératif constitue un socle pour prioriser l’accès à l’éducation, la formation et l’information pour tous. Il est nécessaire de rendre des programmes d’éducation coopérative communément et facilement accessibles à tous les niveaux d’enseignement, de l’élémentaire au secondaire en passant par les établissements supérieurs. Quelles sont les bonnes pratiques ? Quels en sont les enseignements ? Comment pouvons-nous les disséminer davantage ?
SESSION PARALLÈLE 1.4 : AVEC UNE CULTURE COOPÉRATIVE ET UN PATRIMOINE CULTUREL SAUVEGARDÉ
En 2016, grâce à l’engagement du mouvement coopératif allemand, l’UNESCO a inscrit les coopératives au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette décision est une reconnaissance importante de l’engagement des millions de personnes qui travaillent dans une coopérative dans le monde. Qu’implique cette reconnaissance ? Comment promouvoir cette reconnaissance et renforcer mondialement le sentiment de fierté à l’égard de l’identité coopérative ?
SESSION PARALLÈLE 1.5 : AVEC DES PARTENARIATS AVEC LES GOUVERNEMENTS
Beaucoup de coopératives sont issues d’initiatives citoyennes locales, alors que d’autres ont été créées et sont soutenues par les pouvoirs publics qui mettent en place des stratégies économiques dans les pays en développement. Il a été démontré que cette approche favorise la création des coopératives dans ces pays, en particulier parmi les populations rurales et marginalisées. Quels enseignements pouvons-nous tirer de cette approche ? Comment pouvons-nous encourager les gouvernements à intégrer cette approche dans leur stratégie de développement économique durable ??